Hitman : le projet 47




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Emancipation : 47 entre en action (1999-2000)

En 1998, alors que 47 était agé de 34 ans, Ort-Meyer décida qu'il était temps que sa création soit mise au contact du monde et le rendit amnésique. Il se débrouilla alors pour qu'il puisse s'évader de l'asile. Habilement, il le fit voyager à travers l'Europe, puis parvint à le faire remarquer par l'Agence Internationale des tueurs à gages, un an plus tard, à Hong-Kong. C'est ainsi que commença la carrière d'assassin pour M. 47. Au fil des mois, il remplit divers contrats, dont la difficulté augmentait au fur et à mesure qu'il remplissait ses engagements. En 1999, Ort-Meyer était accablé par ses anciens collaborateurs qui exigeaient clairement leur part du gâteau. Mais cela ne le dérangeait plus : sa main armée s'était aguerrie et était prête depuis longtemps.

Sous couvert de l'anonymat, en tant que client de l'Agence, Ort-Meyer commandita donc les meurtres de ses collaborateurs et demanda à ce que le tueur soit l'Agent 47. Le docteur savait que 47 n'échouerait pas, puisqu'il était conscient d'avoir mis au point le clone et le tueur parfait. Son plan machiavélique fonctionna parfaitement, et les collaborateurs encombrants furent au cours des années 1999-2000 tous éliminés, grâce à un 47 qui remplit ses contrats avec une virtuosité inattendue et inégalée.

A présent, Ort-Meyer avait le champ libre pour dominer le monde. Toutefois, il restait encore un obstacle de taille, le danger que le virus ne se retourne contre celui qui l'avait fait se propager. Cet obstacle était 47 lui-même. Ort-Meyer ne pouvait se permettre de le laisser en liberté, car il aurait été trop facile pour un de ses ennemis de le retourner contre lui en commanditant l'assassinat du "père" du nouvel assassin à la mode. Il décida de s'occuper de son élimination, en commanditant une nouvelle mission destinée à conduire 47 à un mort certaine.

Les apparences indiquaient qu'il s'agissait d'un contrat banal : assassiner un certain docteur Kovacs, médecin à l'asile de Roumanie d'où 47 s'était échappé quelques années plus tôt. L'assassin silencieux tomba dans le piège et accepta la mission. Dès qu'il fut sur place, la police roumaine fut mobilisée et les Forces spéciales encerclèrent le bâtiment, pour officiellement maîtriser un fou dangereux lourdement armé. Mais 47 ne se laissa pas perturber : il tua sa cible et retrouva l'agent Smith, son infortuné allié, qui lui dévoilà l'accès aux sous-sols secrets de l'asile.

Cherchant à comprendre qui l'avait piégé, 47 fouilla les profondeurs sinistres de l'asile pendant que la police continuait à cerner les lieux. Au coeur du complexe, une voix jaillit des haut-parleurs pour manifester sa rancoeur à l'égard de cet enfant si parfait qui n'avait pour défaut que de penser par lui-même et de ne pas être assez docile pour être contrôlé, maintenant qu'il s'était affranchi de son créateur... il s'agissait bien entendu de la voix du docteur Ort-Meyer. Pour détruire sa créature, le savant mobilisa ses clones de type 48, aussi performants que 47 lui-même mais parfaitement obéissants.

Cela ne fut toutefois pas suffisant : la violente bataille qui s'ensuivit vit le massacre de dizaines de "frères" de 47 qui déjoua le système de sécurité du laboratoire principal pour atteindre son "père". Il découvrit en fait une petite salle inondée de lumière blanche où se tenait ... Otto Wolfgang Ort-Meyer. Ce dernier crut voir arriver un clone 48 pour lui annoncer la réussite de ses plans. Ce fut son ultime erreur : 47 qui venait juste de comprendre qui il était, et qui l'avait manipulé jusque là, lui tira une balle dans le ventre. Ort-Meyer s'effondra mais ne mourut pas instantanément, prononçant ses dernières paroles : « 47 ? C'est toi ? Je n'avais même pas reconnu mon propre fils... Tu m'as brisé le coeur, mon fils ». Mais 47, parvenu à son chevet, ne se laissa pas attendrir. Il lui brisa sèchement la nuque, mettant fin à ses souffrances.

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